Samedi 21 décembre 2024 de 11h à 12h30 :
Réception scolaire sportifs à Anor
Dimanche 22 décembre 2024 de 9h30 à 13h :
Marché VBlanche à Anor
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Le 21 décembre 2024 de 8h30 à 10h :
Permanence à Anor
« La Sambre reste un capital pour le Hainaut franco-belge, pour l’Avesnois-Thiérache. Enjeu d’aujourd’hui, elle demeure une nécessité pour demain » Tant Jean-Jacques Thomas que Jean-Luc Pérat, mais également les élus dont les territoires sont baignés par la voie d’eau, se sont donc retrouvés pour dénoncer le blocage opéré par Voies Navigables de France. Depuis 2006, en effet, VNF interdit la navigation sur un axe dont la fréquentation de plaisance a augmenté de 84 % en dix ans. Des industries d’Hautmont au transport électrique des lycéens, en passant par les coopératives agricoles, la requalification urbaine et le développement touristique des maisons éclusières, depuis plus d’un siècle, le canal de la Sambre à l’Oise rapproche les Hommes, relient les villes.
Collectivement, les responsables politiques réunis à Vadencourt affichent désormais l’ambition d’en faire, sur un plan européen, un axe économique pour le transport de marchandises et le tourisme fluvial. « Ce fut le cas hier. Cela doit le redevenir, ont affirmé les porte-parole, en précisant que si les industries ont disparu, les territoires eux demeurent ».
« Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme » lança le chimiste Lavoisier. L’assemblée a fait sien cet adage. Cependant, la transformation de la voie d’eau passe inévitablement par les travaux de réfection du pont de Vadencourt. « Un pont propriété de VNF, défectueux, dangereux, qui interdit actuellement le développement économique, écologique, de la Sambre et de son canal la reliant à l’Oise. La Sambre doit donc retrouver ses lettres de noblesse, reconquérir aussi sa place dans le cœur des habitants, comme dans les priorités des décideurs » expliquent le 1er Vice-Président du Conseil général de l’Aisne et le Député de l’Avesnois.
A l’instar de Jean-Marie Leblanc, ancien Directeur du Tour de France et Délégué de la Communauté de communes Mormal-Maroilles, la réhabilitation du pont de Vadencourt, indispensable au rétablissement de la circulation, trouve sa raison d’être dans les conclusions du récent Grenelle de l’Environnement. Dans cette perspective, la Sambre apparaît comme un axe de transport respectueux de l’environnement, au cœur d’un territoire qu’elle désenclave.
MIEUX QU’UNE PREMIERE PIERRE, UN CIMENT D’une manière différente que par le passé, elle peut néanmoins contribuer à l’essor des communes du Nord, de l’Aisne, du Hainaut Belge en leur offrant, par exemple, de nouveaux débouchés vers la région parisienne et l’Est de la France.
Et sans compter la richesse et l’importance du tourisme fluvial, autre enjeu du développement économique, les canaux s’emboîtent les uns aux autres, offrent aux plaisanciers d’incroyables parcours pour sillonner l’Eurorégion, s’y arrêter quelques heures, quelques jours, générant autant de retombées pour le commerce local.
Enfin, comme l’expliquèrent Daniel Cuvelier et Jean-Luc Egret, pour des raisons écologiques évidentes, la Sambre doit vivre afin d’éviter les eaux stagnantes, l’envasement progressif, l’appauvrissement en oxygène de l’eau et, donc, de nouvelles inondations.
Face à cette situation et à la fin de non-recevoir de Voies Navigables de France, le 31 janvier 2008 à Vadencourt, l’ensemble des élus ont crié leur colère. « La prise de conscience n’est pas seulement communale, mais interdépartementale, interrégionale, internationale reprend leur déclaration commune !
Cette mobilisation constitue l’acte I des Etats Généraux de la Sambre. A défaut d’être la première pierre du nouveau pont, elle constitue le ciment d’une même volonté d’exploiter un potentiel existant, sur un territoire qui ne demande qu’à se développer ».
Sur le pont, Maires, Bourgmestres, Conseillers régionaux, généraux et provinciaux, Députés français et belges ont ainsi dénoncé le mépris dans lequel ils sont tenus. « Mettons-nous en ordre de marche. La somme de nos petites énergies constitue une force déterminante. Continuons à nous mobiliser. Continuons à agir ».
10 février 2009
Je viens d’écrire à Bernard BAUDOUX, Vice-Président du Conseil Général en charge des Collèges, pour l’interpeller sur le projet de fermeture d’un des trois Collèges de Fourmies et plus particulièrement celui de la Cité Scolaire Camille Claudel.
Ayant appris par la rumeur, dans un premier temps, et par des articles dans la presse locale, dans un second, j’ai exprimé mon étonnement, voir mon mécontentement, d’avoir été placé devant le fait accompli. N’ayant pas été associé en amont, j’ai découvert la situation comme les autres lecteurs et j’ai trouvé la façon de procéder peu respectueuse de ma fonction de Conseiller Général du Canton de Trélon sur lequel se trouve l’établissement concerné.
Le principe de la réflexion n’apparaît logique mais toute décision doit faire l’objet de négociations, de simulations, de concertations indispensables avec les différents acteurs concernés : parents, élèves, équipe pédagogique, équipe administrative, techniciens, élus, etc…
J’ai exigé dorénavant d'être associé étroitement au dossier en qualité de Conseiller Général du Canton de Trélon.
A lire également mon communiqué de Presse.
Jean-Luc PERAT, Député et Conseiller Général du Canton de Trélon.
Lettre adressée à B.BAUDOUX, Vice-Président du Conseil Général |
Communiqué de Presse - Collège Camille Claudel de Fourmies |
La Ferme FLAS située à Fourmies près d’Anor … l’état de cette ferme délabrée et sa situation sanitaire dramatique pour les animaux, recommençaient …. Il y a près de 9 ans, lors de mon précédent mandat en qualité de Maire d’Anor, j’avais déjà alerté les autorités. Depuis, et malgré l’avoir évoqué à plusieurs reprises, j’ai dû poursuivre mon action en m’adressant directement au représentant de l’Etat dans le Département.
En effet, les conditions sanitaires dans lesquelles se trouvent les animaux étaient déplorables et j’ai directement écrit au Préfet pour faire cesser cette situation particulièrement catastrophique (voir mon courrier du 30 décembre en fin d’article)
Avec la mise en lumière de cet écrit par la Voix du Nord, les services de l’Etat (Direction des Services Vétérinaires et Gendarmerie) sont intervenus le 19 janvier dernier pour mettre fin aux différents manquements remarqués avec l’aide de la Société Protectrice des Animaux à qui j’avais également adressé une copie de ma demande auprès de la Préfecture de Lille.
Je suis satisfait d’avoir contribué à clore ce dossier de la ‘’ Ferme de l’Horreur ‘’. J’ai adressé mes remerciements à l’ensemble des personnes ayant participé à ces opérations. J’ai par ailleurs demandé à Monsieur Le Préfet d’exercer une vigilence particulière sur le suivi de ce dossier en lui demandant de veiller à ce que l’ancien responsable de cette situation n’ait plus le droit d’exploiter pour l’image du monde agricole.
Espérons que cela ne se reproduise pas comme en 1999.
Jean-Luc PERAT, Député.
Lettre adressée à M. le Préfet en date du 30 décembre 2008 |
Article de la Voix du Nord par Lionel MARECHAL |
Jean-Marc Ayrault, président du groupe socialiste, radical et citoyen, Sandrine Mazetier, vice-présidente chargée de l'éducation, et les députés du groupe ont reçu le mardi 4 novembre une délégation d'enseignants des réseaux d'aides spécialisées aux élèves présentant des difficultés (RASED), jour d'examen du budget de l'éducation nationale à l'Assemblée nationale.
3000 postes sont supprimés dans ces réseaux de professionnels pourtant tous spécialisés dans le traitement de la difficulté scolaire. Ils se sont formés à identifier et résoudre les blocages et les difficultés d'apprentissage des enfants. Ils accompagnent les enfants individuellement ou en petit groupe et au sein même de leur école, dans le temps scolaire à la demande des enseignants et des familles.
La suppression de ces postes est une erreur grave, une de plus. Elle va accroître les inégalités entre les élèves et défavoriser tous ceux qui sont les plus en difficulté.
Jean-Luc Pérat et l'ensemble du groupe socialiste ont déposé plusieurs amendements afin de rétablir les postes de RASED en les finançant par des crédits non utilisés destinés aux heures supplémentaires. Tous ont été rejetés par le ministre.
21 octobre 2008
Jean-Luc Pérat, Député du Nord, vient de rencontrer la section Sambre-Avesnois de la Fédération des Motards en Colère du Nord. Il vient également d'adresser une lettre à Monsieur le Président du Conseil Général du Nord. Dans cette lettre, il attire l'attention de Monsieur le Président sur la nécessaire prise en compte de la sécurité des pilotes de deux-roues dans les projets d'aménagements routiers et urbains du Département.
Plus précisément, il fait trois propositions concrètes :
- que l'exécutif départemental rencontre la FFMC afin d'engager une réflexion commune sur les réponses spécifiques à apporter aux utilisateurs de deux-roues.
- que les associations d'usagers, notamment les motards, soient associées dans le processus d'élaboration des projets d'aménagements urbains et routiers.
- que les exigences spécifiques vis à vis de la sécurité des usagers de deux-roues soient introduites dans le cahier des charges de tout aménagement urbain ou routier.
Une copie de ce courrier a également été adressée à Madame Jocya Vancoillie, Vice-Présidente du Conseil Général du Nord chargée des routes. Il également demandé aux représentants des motards qu'ils continuent à attirer son attention sur tout aménagement présentant des risques vis à vis des pilotes de deux-roues sur le territoire de sa circonscription (cantons d'Hautmont, Solre-le-Château, Avesnes-sur-Helpe, Trélon et Landrecies).
Consultez la lettre adressée à M. le Président du Conseil Général du Nord
Suite à cette demande Monsieur Bernard DEROSIER, Président du Conseil Général du Nord, vient d'annoncer la création d'un Comité de Pilotage spécifique et permanent en accord avec la FFMC.
consultez la réponse adressée à Monsieur Jean-Luc PERAT, Député.
Lettre adressée à M. le Président du Conseil Général du Nord |
Lettre de réponse adressée à Monsieur Jean-Luc PERAT, Député |