Jeudi 30 novembre 2023 de 9h à 10h :
Réunion de chantier AFA à Anor
Jeudi 30 novembre 2023 de 11h30 à 14h :
RDV Promocil à Anor
Jeudi 30 novembre 2023 de 14h à 16h :
Visio CAUE 59 à Anor
Tout l'agenda
Le 02 décembre 2023 de 8h30 à 10h :
Permanence à Anor en Mairie
Jean-Luc PERAT a participé le lundi 4 février 2008, en compagnie des autres députés et sénateurs, au Congrès à Versailles réuni afin de voter la révision de la Constitution visant à autoriser la ratification du traité de Lisbonne. Pour protester contre le refus du Président de la République de soumettre la ratification à un référendum, et contrairement à la position du Parti socialiste qui appelait à l'abstention lors de ce scrutin, Jean-Luc PERAT a voté contre cette révision. Au total, 143 parlementaires socialistes se sont abstenus et 121 se sont opposés à la révision qui a finalement été acceptée par 560 votes "pour" (majorité qualifiée des 3/5 des suffrages exprimés : 445)
Les socialistes ne sont pas hostiles au principe d'une réforme du service public de l'emploi. La logique du guichet unique va dans le bon sens. Mais cette évolution n'a de sens et d'utilité que si elle améliore les services rendus aux demandeurs d'emplois.
Le Groupe socialiste à l'Assemblée Nationale ont souhaité réagir suite à la fusion ANPE/UNEDIC annoncée par le gouvernement.
Il y voient en particulier une réforme improvisée et technocratique, véritable arme contre les chômeurs.
Face à cette nouvelle mesure injuste, inefficace et idéologique, les parlementaires socialiste souhaitent être forces de propositions pour créer une véritable politique de l'emploi, de l'orientation et de la formation et ainsi accompagner efficacement les demandeurs d'emplois.
Le ministère de l’Education nationale envisage la mise en place d’un service minimum d’accueil dans les écoles maternelles et élémentaires en cas de grève des personnels.
Par une circulaire adressée aux recteurs et inspecteurs d’académie le 8 janvier dernier, le ministre demande à ses services de préparer ce dispositif, à titre expérimental, dès le jeudi 24 janvier, date de la journée d’action prévue dans la fonction publique.
Les communes volontaires prendraient en charge les enfants scolarisés dans les écoles de leur territoire durant les six heures d’enseignement. Afin d’aider les collectivités à financer le coût de l’opération, l’État verserait une participation s’élevant à 90 euros par tranche de 15 élèves accueillis.
L’Association des petites villes de France (APVF), vivement préoccupée par cette question, a souhaité interroger les élus sur leur position vis à vis de cette mesure. Vous trouverez, ci-après, la réponse de Jean-Luc PERAT :
APVF : Avez-vous l’intention de mettre en place le service minimum d’accueil dans les écoles de votre commune, dès le 24 janvier ou plus tard ?
Jean-Luc PERAT : Non. Au-delà de la difficulté à trouver une ressource de personnel disponible très ponctuellement et qualifié, ce qui rend d’ailleurs cette mesure inapplicable dans les communes rurales sauf à faire garder les enfants par nos secrétaires de mairies ou nos agents techniques, je ne cautionne pas le projet du Ministre qui demande de substituer le personnel de l’Education Nationale gréviste à celui de nos collectivité locales.
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