Mercredi 27 septembre 2023 de 9h à 10h30 :
Réunion Biodiversité PNRA à Anor
Mercredi 27 septembre 2023 de 10h30 à 11h30 :
Réunion de Chantier à Anor
Mercredi 27 septembre 2023 de 15h à 16h :
GAMA Spectacle à Anor
Tout l'agenda
Le 30 septembre 2023 de 8h30 à 10h :
Permanence à Anor-Mairie
A la demande de l'association France Parkinson, Jean-Luc Pérat a interrogé, au moyen d'une question écrite, Madame la Secrétaire d'Etat chargée de la Santé sur la mise en place d'un plan national contre la maladie de Parkinson.
En effet, cette maladie qui touche plus de 150.000 familles en France demeure l'une des seules grandes pathologies à ne pas bénéficier d'un plan d'action national.
Or, le 11 juillet dernier, à l'occasion d'un Comité interministériel, Xavier Bertrand, le ministre de la santé, avait annoncé le lancement d'un tel plan d'action reprenant les 20 priorités définies à l'occasion d'Etats généraux organisés par France Parkinson.
Malheureusement, depuis, aucune concrétisation n'est intervenue, ni le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, ni le budget 2012, ne prévoyant de crédits spécifiques pour conduire ces actions. Jean-Luc Pérat interroge donc Mme le Ministre pour connaître les intentions du gouvernement vis à vis de la mise en œuvre de ce plan.
Vous trouverez, ci-joint, la question écrite posée à ce sujet.
![]() | Question écrite posée par Jean-Luc PERAT - Parkinson |
C’est dans une lettre adressée par le Président du Conservatoire d’Espaces Naturels du Nord et du Pas-de-Calais, Bruno de Foucault, en date du 9 novembre, que Jean-Luc PERAT reçoit les remerciements de l’ensemble du réseau pour son action et son soutien pour l’inscription d’une reconnaissance spécifique de leurs actions en faveur de la biodiversité.
Dans cette correspondance, le Président a tenu à faire part au Député Jean-Luc PERAT de ses plus sincères remerciements au nom du Conservatoire pour le soutien qu’il a bien voulu leur apporter.
En effet, Jean-Luc PERAT s’est mobilisé dans ce cadre et le décret d’application vient d’être publié au journal officiel le 9 octobre dernier, autorisant l’aboutissement de la démarche des Conservatoires qui favorisera le renforcement du réseau et de sa cohérence nationale.
Le Conservatoire Nord Pas-de-Calais devrait d’ailleurs dans les prochaines semaines solliciter une demande d’agrément auprès du Préfet de Région et du Président du Conseil Régional Nord Pas-de-Calais.
![]() | Lettre de remerciements adressée à Jean-Luc PERAT par le Président du Conservatoire en date du 9 novembre 2011 |
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Journal officiel du 9 octobre 2011 |
L’Espace Naturel Régional vient de consacrer un article-témoignage mettant à l’honneur Jean-Luc PERAT pour ses actions en faveur des paysages et du cadre de vie dans le cadre des 20 ans de l’opération Plantons le Décor. Le document réalisé par l’ENR est d’ailleurs téléchargeable en fin du présent article.
Initiée en 1983 par Espaces naturels régionaux cette opération permet aux habitants du Nord-Pas de Calais qui souhaitent faire des plantations, de commander chaque année des variétés d’arbres, arbustes et fruitiers typiques de la région afin de contribuer ainsi à entretenir la biodiversité et les paysages locaux.
Tous les ans en septembre, plus de 150 espèces, parfaitement adaptées au sol et au climat, sont proposées à la vente. Les végétaux achetés sont ensuite mis à disposition dans les différents points de livraison répartis dans la région, entre décembre et mars, afin d’être replantés à la période la plus propice.
Cette opération s’adresse autant aux particuliers qu’aux collectivités et aux entreprises.
![]() | Article témoignage consacré à Jean-Luc PERAT |
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Le programme 20 ans de l'opération Plantons le Décor |
C’est vraisemblablement l’une des satisfactions les plus importantes de Jean-Luc PERAT en cette fin d’année 2011 que de voir se réaliser cet important projet pour le développement économique du territoire.
Un projet de longue haleine qui a mobilisé toute son énergie et celui de la Communauté de Communes ACTION Fourmies et Environs, afin d’aboutir aujourd’hui à la pose de la première pierre en présence de très nombreuses personnalités dont le Président du Conseil Général du Nord Patrick KANNER qui avait fait le déplacement pour cette manifestation pleine de symbole pour le territoire du Sud Avesnois. Photos à découvir : http://www.perat.fr/galerie.php?debut=2&gal=photos
En effet, l’ambition du projet de création du Pôle Intercommunal de Développement Économique est d’offrir un véritable guichet unique de l’accompagnement de projets à vocation économique. Jean-Luc PERAT a souhaité que cette structure d’envergure vise à apporter, une réponse adaptée et originale à l’ensemble des porteurs de projets pour aider à une redynamisation du tissu économique local, grâce au regroupement, au sein d’un même bâtiment (le PIDE), de l’ensemble des structures soutenant le développement économique de sorte d’offrir un espace dédié au soutien et au développement de l’économie en général. Le futur bâtiment aux normes HQE, accueillera le futur siège de la Communauté de Communes, une Ruche Départementale d’Entreprises et professionnels de l’accompagnement de projets : Gestion Espace, de Thiérache Initiative, de FACE Thiérache, de la CCI Nord de France, et de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat Nord Pas-de-Calais.
Au cours de son allocution, Jean-Luc PERAT a tenu à remercier chaleureusement l’ensemble des partenaires ayant apporté plus de 70 % de subventions pour le financement de ce projet de 3,7 millions d’€ ainsi que la Ville de Fourmies pour la mise à disposition du terrain. Détail des financements à découvrir : http://www.pide-fourmies-trelon.fr/merci_prov.php
Quelques vidéos ont été réalisées ainsi qu’un site internet intégralement dédié à ce projet ont été également mis en ligne pour cette occasion. A découvrir : http://www.pide-fourmies-trelon.fr/
Rendez-vous dans une dizaine de mois pour découvrir cet important bâtiment sur la zone commerciale de la Marlière à Fourmies.
![]() | Communiqué de presse |
Interpellé par des entreprises du secteur, Jean-Luc Pérat a précisé sa position vis à vis de la taxe sur les boissons contenant des sucres ajoutés créée par le gouvernement à l'occasion de la loi de finances pour 2012 et élargie aux boissons contenant des édulcorants de synthèse :
« Vous avez souhaité attirer mon attention sur votre opposition au projet de création d'une taxe sur les boissons contenant des sucres ajoutés. Je vous remercie pour cette initiative.
Cette mesure a été débattue et votée par l'Assemblée ce vendredi 21 octobre.
Dans ce cadre, des amendements du gouvernement et de la commission des finances ont été adoptés. Ils portent le taux de la taxe due sur les boissons contenant des sucres ajoutés à 7,16 euros par hectolitre, cette recette étant affectée pour moitié à la Sécurité sociale. Ils créent également une taxe de même montant sur les boisons contenant des édulcorants de synthèse.
Je n'ai malheureusement pu participer à cette discussion. Je vous livre toutefois ma pensée vis à vis de ce dispositif.
L'obésité est un problème majeur dans notre pays, en particulier lorsqu'elle touche les jeunes. Or, il est indéniable que les boissons contenant des sucres ajoutés, parfois de manière totalement disproportionnée (par exemple 108 grammes de sucre pour 1 litre de Coca Cola), participent à cette hausse inquiétante du nombre d'enfants obèses dans notre pays, et donc du mal-être et des graves problèmes de santé qui en découlent. J'ajoute que le sucre a tendance ces dernières années à être utilisé de manière trop systématique et dans un but marketing, afin de « moderniser » l'image de certains produits pourtant sains, par exemple l'arrivée des « eaux minérales aromatisées ».
C'est pourquoi, en parallèle d'une prévention adaptée et d'un encadrement plus restrictif des publicités destinées aux jeunes, il m'apparait souhaitable de responsabiliser tant les consommateurs que les producteurs de boissons sucrées au moyen d'une taxe, dont l'objectif est tout autant d'orienter par un signal prix la demande vers des produits moins sucrés que de répercuter une partie des coûts induits par la surconsommation de sucres et supportés par la Collectivité, au niveau de la Sécurité sociale notamment.
Je regrette toutefois que le taux choisi pour cette taxe (7 centimes par litre) ne soit trop faible pour véritablement induire une inflexion dans les comportements d'achat. En tous cas, il ne menace en rien votre filière et vos emplois.
Pour ce qui concerne la décision de créer une taxe similaire sur les boissons « light » contenant des édulcorants de synthèse, je n'y étais pas favorable.
En effet, si des études venaient à démontrer que la consommation d'aspartame ou d'autres édulcorants de synthèse présente un risque pour la santé, alors il conviendrait non pas de taxer ces produits mais de les interdire. Tel n'est cependant pas le cas aujourd'hui. »
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